"Un chef maori ne tentera jamais de raviver le feu avec son souffle, puisque son souffle sacré communiquerait sa force au feu, le feu au récipient posé dessus, le récipient à la nourriture qui est cuite et la nourriture consommée par la personne, ce qui entraînerait la mort de celui qui aurait mangé la nourriture préparée dans le récipient chauffé au feu et ravivée par le souffle du chef, sacré et dangereux." (Frazer, 1911. The Goldem Baugh II. Taboo and the Perils of The Soul, p. 136; en Freud, 2011, obras completas).
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